Sea, dust and sun... :
Aujourd’hui, on a décidé de jouer les aventuriers sur terre, au-dessus de l’eau, quoi ! (sans rire…). Nous voilà donc partis pour le Washington Slagbaai National Park, dès 8h du mat. (Ben oui, à la fraîche, quoi, après on meurt...).
Une demi-heure de route pour arriver au parc, arrêt à Karpata pour prendre la photo du site de plongée et laisser partir une voiture escargot qui nous ralentissait (et oui, on s’arrête parce qu’il nous ralentit… cherchez l’erreur…). Il faut savoir qu’à partir de Karpata, la route est à sens unique.
Arrivée au parc, enregistrement à l’entrée, et on est partis avec la carte du parc et des différents sites à voir. La route est une piste avec des trous (ooohhh, oui…), les pick-up n’ont pas d’amortisseurs, je vous laisse deviner l’état de notre dos et des sacs de plongées qui prennent le soleil et la poussière à l’arrière (surtout la poussière… et surtout le soleil…).
Bien sûr qu’on a pris nos sacs de plongée ! Le parc est en bord de mer, et donc on y plonge. (Vous nous prenez pour des touristes terrestres ?!).
Curiosités animalières : lézards à la pelle, iguanes au kilo, chèvres à la douzaine, oiseaux partout (flamants roses).
Curiosités paysagères : Blow Hole (les vagues s’écrasent sur la côte rocheuse déchiquetée, en geyser, magnifique !), les forêts de cactus, les rochers coralliens (il y a bien longtemps, l’île était sous le niveau de la mer. (i glou, i glou, i glou…), salines aux reflets et aux couleurs dignes d’un paysage lunaire.
Pause plongée sur Playa Funchi, visi moyenne, site sans charme particulier. Mais on est difficiles après avoir plongé sur Karpata.
Curiosité sous-marine : une énooooorrrrrme langouste sous un rocher, repéré par Thierry (chef Thierry du coup !).
Il est presque 16h, retour maison pour douche (hmmmmmmm, c’est bon…), et l’happy-hour (hmmmmmmm, c’est bon…). On finit dans un resto italien, miam miam les pizzas !
La pêche (photographique) du jour : ben... la langouste !
La phrase du jour : " Tu voudrais pas qu'on prenne les phrases du jour de Thierry quand même, je rêve !"